gloves la traduction (c'est pas de moi c'est d'un site je suis nul en anglais)ps: ames sensible c'est ptete pas la peine de regarder la traduction c'est pas hyper gore mais on sais jamais
Gloves
Les gants
Today I found a baby's glove
Aujourd'hui j'ai trouvé un gant d'enfant
Lying on the drainage board so still
Qui reposait sur le fossé, paisiblement
Yesterday a leather glove from the slim fingered hand of a woman
Hier un gant de cuir échappé des doigts fins d'une main féminine
The next time I saw one it was lying half frozen and twisted on the kerb..and I got to take it
L'autre fois j'en ai vu un à moitié gelé et entortillé sur le bord du trottoir... et il m'a fallu le saisir
Now I have my own private collection
Maintenant j'ai ma propre collection personnelle
All lined in rows when you open up the wardrobe doors
On peut la voir toute alignée quand on ouvre les portes de l'armoire
Now I have no room for my obsession
Maintenant je n'ai plus de place pour mon obsession
Lined up and labelled in neat little packets
Alignée et étiquetée dans des jolis petits paquets
The next time I saw one it stuck inside my head and became all that I could think about
Une fois j'en ai vu un, il s'est fourré dans mon crâne et s'est transformé en tout ce que je pouvais penser
And through wax seals and padlocks... A hand through my ribcage
Et ignorant les cachets de cires et les cadenas... Une main me traverse la poitrine
Past the choking I saw palms and fingers grasping shoulders...collarbone...crushing
Et reprenant ma respiration, je vois des paumes et des mains qui saisissent des épaules... la clavicule... qui les broient
I imagined myself hacking desperately at a sea of appendages, forward and right, freeing myself like a butcher, feeling the mash of bone and sinew running slowly down the front of my body... and I couldn't take it any more, I said, I've got to go, I've got to get out of here, I've got to go, and I ran down the street, I've got to go, I've got to get out of here, I've got to go, I've got to go...
Et je me suis figuré couper avec la force du désespoir un océan de membres, devant et à côté de moi, me libérer tel un boucher et sentir le tas d'os et de muscles me dégouliner sur le devant du corps... et je n'en pouvais plus et je me suis écrié : "Je dois m'en aller, je dois sortir d'ici, je dois m'en aller", et j'ai descendu la rue en courant, "je dois m'en aller, je dois sortir d'ici, je dois m'en aller, je dois m'en aller".